Mon implication associative

Début 2018, comme chaque année, j’ai pris quelques résolutions. Parmi elles, la décision de m’impliquer dans 2 associations qui me tiennent à cœur : Souvenange et les Chiens Guides d’Aveugles

L’association Souvenange

J’ai découvert l’association Souvenange il y a quelques mois, par d’autres photographes. Leur mission est d’accompagner les parents endeuillés lors du décès d’un nouveau-né, ou à la naissance d’un bébé mort-né. Dans ce contexte très difficile, les photographes bénévoles de l’association peuvent intervenir :

  • en maternité : en allant faire des photos de qualité professionnelle de ces bébés décédés
  • via un service de retouche : en traitant les photos envoyées par les parents

J’ai rejoint l’association début janvier, après de longs mois d’hésitation, incertaine de ma capacité à supporter cette mission. Mais le sentiment de devoir a été le plus fort : il faut des bénévoles pour ce genre de tâche, et je suis techniquement capable d’apporter mon aide. Je me sens bien trop souvent impuissante face à toute la misère du monde. Mais ici et maintenant, je peux soutenir d’une certaine façon ces parents qui traversent l’impensable.

Lisez mon portrait sur le trombinoscope des bénévoles de Souvenange

L’association des Chiens Guides d’Aveugles

Un autre projet me tenait à cœur depuis bien plus longtemps encore : être famille d’accueil pour l’association des Chiens Guides d’Aveugles. Sensibilisée à cette question par des proches il y a une dizaine d’années, j’ai attendu de réunir des conditions propices pour me proposer.

Tout d’abord, parce qu’il fallait être disponible. Lorsque j’étais salariée, il ne m’était pas possible d’élever un chiot avec l’implication demandée aux familles d’accueil. Désormais, je suis plus présente puisque je travaille essentiellement à mon domicile, et ma fille n’étant pas scolarisée, elle est très enthousiaste à l’idée de s’occuper du chiot.

Moby, jeune Golden Retriever actuellement en formation avec un éducateur à l’école du Chien de Roncq

Ensuite, parce que je préférais attendre d’habiter dans une maison avec un jardin pour que le chiot puisse avoir tout le loisir d’être en extérieur, y compris lorsqu’on ne peut pas le sortir.

Nous avons donc pris rendez-vous avec les éducateurs de l’École du Chien de Roncq, et nous attendons désormais l’arrivée d’un premier chiot, pour un an !

Découvrez le Centre Paul Corteville en quelques images :

 

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